infos
86, rue de richelieu 75002 Paris
09 81 05 71 54
Ouvert du lundi au samedi de 12h00 à 15h00 et de 19h00 à 23h00 – Fermé le dimanche
http://www.lafourchette.com/restaurant/le-pont-de-sichuan/43137
Metro
Ligne 8Ligne 9Richelieu-Drouot
Bus
Ligne 3Quatre-Septembre
dans l'assiette
Raviolis grillés au poulet 4,90€Boeuf sauté à la pate soja 13,90€
Agneau sauté aux poireaux 13,90€
Riz nature 2€
Mocchi 4 coloris 4,90€
+ Bière Qing Dao 5,80€
galerie
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avis
Visiblement pas encore complètement vaccinée par la cuisine chinoise après mon expérience à l’Impérial Choisy, c’est à la sortie du travail que je me suis laissée entraîner une fois de plus au pays des baguettes situé à cette occasion dans le 2nd arrondissement de Paris. Mais cette fois, ce n’est pas à Canton que nous avons fait escale mais au cœur de la province sichuanaise. Pour les connaisseurs, le Pont du Sichuan qui a récemment ouvert au 86 rue de Richelieu est le petit frère du Pont du Yunnan, situé dans le 9ème arrondissement.La porte d’entrée franchie, le restaurant fait tout de suite très bonne impression : propre, moderne et détail rassurant, la fréquentation importante du lieu par la communauté chinoise. Coïncidence ou pas, ce soir là, dans la salle comble, il n’y à qu’une seule autre table d’occidentaux.
L’accueil est sympathique et non expéditif comme on peut y être habitué dans les restaurants chinois ou japonais. En guise de menu, la serveuse nous distribue de jolies cartes avec les photos des plats, pour la plupart des spécialités de la cuisine du Sichuan à base de piment et de poivre du Sichuan : marmite de crevettes grillées au poivre de Sichuan, bœuf mijoté dans sa sauce à base de soja, huile de sésame et piment ; Mais aussi des plats plus doux comme les cuisses de grenouilles, le colin vapeur dans sa sauce soja qui est servi avec des nouilles.
Curieux, nous observons « discrètement » les tables des autres convives dont les mets sont présentés avec soin et pour la plupart servis dans de grands plats uniques ou des marmites, notamment pour les poissons entiers. Les plats individuels, comme ce fut notre cas, offrent également des portions très généreuses.
Pour les desserts, pas de surprises en revanche, le choix est assez réduit : glace au thé vert, mocchis (gâteaux de riz gluant) ou encore une soupe chaude de haricots rouges. Le choix des 4 mocchis s’est révélé sans grand intérêt : ni bon, ni mauvais.
Globalement, le Pont du Sichuan s’en sort avec une très bonne note et se distingue par une cuisine plus fine que ses concurrents, même si à mon goût, la cuisine chinoise reste toujours trop grasse.